Perros – Perroz pour les intimes. Bien couverte l’été, découverte l’hiver, à fleur de peau – de granit devrais-je écrire – décoiffée par un courant nord-est, abreuvée d’averses et de rayons blancs, réserve naturelle de couleurs inégalables, Perroz m’a ouvert les bras cette semaine et chacun(e) m’a accueilli(e) sans frein.
Quelques jours à peine, et déjà tant – à dire, écrire sur ton cœur rayonnant, Perroz, centre d’un monde, lueur au bout du sentier, chaleur d’un foyer où l’on n’oublie pas de se réunir, quel que soit le temps, de rire, boire, de se parler… et de VIVRE.
Perroz à saison basse, découverte sans fard, Perroz dans son aube hivernale, Perroz, accepte-moi de nouveau, dès janvier dans tes bras.
Nicolas Gonzales